Voilà le grand mouvement dans lequel il faudrait s’incorporer pour être serein, confiant.
« Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! » Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.
Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple LA PEUR, L’ANGOISSE donnent des palpitations cardiaques, vertiges, sueurs, tremblements, mains moites.
- LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
- LA COLÈRE retenue,
- LA RANCUNE : une crise de foie.
- LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE peut provoquer des infections urinaires à répétition.
- QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.
- QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSE DIRE, QU’ON A RAVALE, une angine, des maux de gorge.
- UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
- PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
- INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
- CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
- TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
- SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.
- PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.
Au besoin, faites la thérapie par l’écriture, écrivez ce qui vous préoccupe, et brûlez ou déchirez. Ca permettra à l’émotion de s’évacuer.
Je vous conseille le super bouquin de Jacques Martel « le grand dictionnaire des malaises et des maladies » aux éditions Quintessence
Les personnes qui souffrent de fibromyalgie se sentent souvent « de trop », ou se rendent malades pour attirer l’attention, pour qu’on s’occupent enfin d’elles, qu’on remarque leur existence (ceci inconsciemment, bien sûr.)
Ces personnes vivent souvent une vie qui n’est pas la leur, qu’ils n’ont pas vraiment choisie, mais ils la vivent pour suivre des principes, ou faire ce qu’on attend d’elles, mais qui ne correspond pas à leurs vrais désirs.
Ce n’est pas la vie qu’ils aimeraient vivre.
Alors ils ne veulent plus avancer, se coupent de leurs émotions.
C’est souvent de la violence retournée contre soi, de la trop grande sévérité envers soi-même. Ou se sentir pris en étau entre ses parents, ou vivre de la colère refoulée depuis longtemps.
Il semblerait que les sources de la fibromyalgie remontent très souvent à l’enfance, à la suite d’un événement ou d’un contexte qui a généré de la culpabilité.
Il est bien clair que ça n’explique pas toujours tout, mais c’est juste pour soulever une question, une possibilité éventuelle qu’il y a quelque chose de non réglé derrière cette blessure.
La FIBROMYALGIE est la conséquence d’une grande douleur intérieure, de l’anxiété, du perfectionnisme poussé au-delà des limites. On sent de la pression de l’entourage, ou on se la met soi-même, on a de la peine à s’affirmer, à se faire reconnaître, à recevoir de l’amour.
Se permettre d’être qui on est, avec ses imperfections, ses faiblesses. On n’a pas à être parfait, d’ailleurs la perfection n’existe pas. C’est un chemin, et non pas un but à atteindre, comme le dit la citation de sagesse orientale.
Prendre soin de soi, se donner de la douceur, se traiter avec bienveillance.
S’épanouir dans des activités qui nous plaisent, qu’on a choisies, se faire plaisir.
Se donner le droit d’exister, on est sur terre, il y a une bonne raison, à nous de faire que notre vie nous corresponde le mieux possible, faire du mieux qu’on peut avec ce qui est.
Se donner un but, soutenir une cause, donner un sens à sa vie.
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On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux. Difficultés d’ajustement à une situation.
Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
Colère refoulée.
Personnes sujettes aux maladies du foie : personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.
Cirrhose : causes émotionnelles possibles : souvent une maladie liée à l’alcoolisme, mais l’alcoolisme est aussi maladie en rapport avec ces émotions : forme d’autodestruction, rejet de soi-même et de sa vie, culpabilité de vivre. Trouver que la vie est injuste, être au bout de ses limites.
Hépatite : cause émotionnelle possible : se faire du mauvais sang, situation personnelle difficile, relations tendues, sentiment d’échec, d’injustice.
Impression de se perdre, ne pas distinguer le bien du mal.
Avoir été obligé de faire quelque chose.
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.
Se battre. Esprit de conquête.
- Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser. Sentiment d’injustice.
- Colère, rancune.
- Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
- Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
- Se retenir de passer à l’action.
- Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.
Les pierres ou calculs sont des dépôts de cholestérol agglomérés et durcis.
Ces calculs peuvent résulter de pensées ou de jugements top durs envers soi-même, envers son entourage ou envers la vie, ou craindre les jugements des autres.
- Amertume intérieure, mécontentement envers soi-même ou quelqu’un de l’entourage.
- Désir de revanche, détester quelqu’un.
- Envie ou jalousie non avouée. Désir de montrer au monde entier de quoi on est capable.
- Être décidé à aller de l’avant, en étant conscient de ses capacités, mais se sentir arrêté ou limité par quelque chose ou par des peurs.
- Peur de perdre, ou de perdre la partie, de quitter quelqu’un ou une situation, sensation de devoir se justifier.
- Désir de clarifier une situation ou refus de d’y voir clair.
- Difficultés à accepter ses sentiments et émotions, surtout s’ils sont négatifs.
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– Causes émotionnelles des maladies : LA GLANDE THYROÏDE
Quelles émotions et quelles circonstances de la vie sont susceptibles d’occasionner des problèmes à la glande thyroïde ?
- Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
- Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
- Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.
- Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
- Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté.
- Difficultés à s’affirmer.
- Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.
- Chagrin non reconnu par l’entourage.
- Désir de vengeance, besoin de prouver ses capacités.
- Trop en faire pour être aimé.
- Croire que tout est urgent, il faut tout « faire vite ».
- Colère et tristesse de ne pas avoir dit ce qu’on aurait aimé ou voulu dire à une personne, ou dans une situation. Dans ce cas, on peut essayer de faire la thérapie de la lettre à brûler
- Se sentir dépassé par les événements.
- Non-dits accumulés.
- Profond découragement, à quoi bon ?
- Aimerait en faire plus mais ne se demande pas quels sont ses vrais besoins.
- Personne ne nous comprend.
- Rancune tenace et nourrie pendant des années.
- Résignation, abandon de la vie.
- Désir de fuir les réalités, se mettre en retrait.
- Rancune ancienne non réglée.
L’hernie est une partie d’un viscère, pour les hernies inguinales ou du noyau gélatineux, pour les hernies discales qui saille hors de la cavité qui le contient et qui passe à travers la paroi musculaire, formant une petite boule qu’on sent sous la surface de la peau.
- Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
- Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.
- Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.
Hernie inguinale : (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer.
On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions.
Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.
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Causes émotionnelles des maladies des GENOUX
- Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
- Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.
- Devoir s’incliner pour avoir la paix.
- Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,
- Entêtement, humiliation.
- Culpabilité d’avoir raison.
- Colère d’être trop influençable.
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La personne qui est sujette à une entorse peut se sentir obligée d’aller dans une direction contraire à ce qu’elle voudrait vraiment.
Elle se laisse diriger, va plus loin que ses limites et s’en veut de ne pas pouvoir dire NON aux autres.
Elle a peur de faire une entorse au règlement ou à ce qu’on attend d’elle.
Cette entorse lui donne l’excuse nécessaire pour prendre un temps d’arrêt.
Il y intérêt à être plus flexible, car tu te fais mal en insistant pour voir les choses à TA façon…il serait bien de chercher à t’informer sur la motivation des autres et voir peut-être les choses d’une autre façon que la tienne.
Peut-être devras-tu apprendre à dire NON, et cesser de répondre aux attentes des autres. Si tu t’imposes toi-même une certaine direction, vérifie quelle peur te motive ou quelle raison?
En étant plus flexible envers toi-même et envers les autres, tu pourras mieux répondre à TES besoins.
D’après « Ton corps dit « aime-toi », de Lise Bourbeau
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Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication.
Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.
Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité, il faut rassurer l’enfant sur l’amour qu’on lui porte et lui expliquer pourquoi on retourne travailler, et s’il y a des disputes et des querelles, lui parler, lui dire que c’est un problème entre adultes et que ça vous appartient.
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Les seins ont un rapport direct avec notre façon de « MATERNER », soit nos enfants, notre famille, notre conjoint ou le monde en général.
Materner signifie traiter l’autre comme s’il était son enfant, dépendant de sa mère. Etre trop protectrice, trop « mère poule » ou dominatrice avec ses enfants ou son conjoint.
La personne qui a un problème au sein peut être du genre à se forcer pour avoir l’air maternelle, et pour être une bonne mère
Ou alors qu’elle s’en demande trop, à elle-même, par manque de confiance ou d’estime de soi.
Elle peut éventuellement aussi éprouver un sentiment d’échouer en tant que mère, ou de la culpabilité de voir souffrir sa mère.
Ou elle a été séparée d’une personne chère, qui est partie du foyer, ou qui est décédée.
Le sein gauche est plutôt lié avec son enfant (ou son enfant intérieur), et l’affectif, ceux qu’on tient sur son coeur. Ca peut être aussi un « conflit de nid » avec un élément masculin, mari ou fils.
Pour une gauchère, c’est l’inverse.
Une exception, toutefois : une forte émotion liée à une douleur de séparation d’avec son partenaire peut affecter le sein droit (chez une droitière) et une émotion avec une résonance de douleur d’abandon vécue dans notre enfance peut atteindre le sein gauche.
Il est aussi possible que tu maternes ta mère, ou une autre personne, et que ça te cause un problème. Ta mère ou quelqu’un d’autre te demande de l’aide au-delà de ce que tu peux donner, au delà de tes limites.
Au lieu de te forcer ou de te plaindre de ce que tu vis, essaie de ne donner que ce que tu peux faire DANS L’AMOUR ET DANS LA JOIE, et dans le respect de ce que tu peux donner.
Ton sens du devoir est trop grand, tu dois apprendre à lâcher-prise de ceux que tu aimes. Donne toi le droit de ne pas pouvoir ou vouloir en faire plus, et avoue-le sans culpabiliser.
Tes limites actuelles ne seront peut-être pas les mêmes toute ta vie.
L’amour maternel peut exister en toi, sans que tu sois obligée de materner continuellement.
(d’après les livres : Lise Bourbeau, Claudia Rainville et Jacques Martel)
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- Problèmes aux cuisses : manque de confiance en soi, traumatismes vécus dans l’enfance.
- Mal aux jambes, problèmes de jambes : peur d’avancer, d’affronter l’inconnu.Faire face à l’avenir, se propulser en avant, aller de l’avant, peur d’avancer dans la vie ou de dépasser une situation, que ce soit dans le domaine du travail, de l’amour, s’engager dans une nouvelle relation, ou même en prévision d’un voyage.Si on a surtout mal quand on ne bouge pas : peut-être qu’on culpabilise de prendre du repos, on ne se permet pas de s’arrêter.
- Accumulation de gras aux cuisses : colère refoulée dans l’enfance, souvent en relation avec le père, ou culpabilité par rapport à des événements du passé.
- Accumulation de gras aux hanches : colère persistante dirigée contre les parents.
- Douleurs fond du dos, douleurs lombaires : déception, échec. Autocritique. Contrariété ou colère. : peur de manquer, peur du changement, difficultés financières
- Hanches : indécision, peur de passer à l’action, peur d’aller jusqu’au bout de ce qu’on désire, peur que ça ne serve à rien, peur de s’engager. C’est aussi l’autonomie, et les interdits que l’on s’impose.
- Bassin : représente le foyer, le pouvoir et la sécurité, l’indépendance, les besoins de base. Des problèmes de bassin peuvent être en rapport avec des frustrations liées aux parents, ou à la mère. Ou peut-être qu’on voudrait être la mère de tout le monde et qu’on porte trop de responsabilités qui ne nous incombent pas.
Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de FAIRE et de RECEVOIR, ainsi que l’autorité, le pouvoir.
Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.
- Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.
- Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.
- Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à leur montrer de l’affection.
- Je m’empêche de faire des choses pour moi-même, parce que je me souviens des jugements négatifs et des interdictions durant mon enfance, ce qui m’avait blessé.
- Je ne me permets pas de prendre ou je regrette d’avoir pris quelque chose, ou je pense que j’ai obtenu quelque chose que je ne méritais pas.
- Ou quelque chose me revient de droit , que je n’ai pas pris, je ressens de la colère.
- Se rapporte au fait d’avoir été jugé par ses parents.
- Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple…).
Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.
Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe. « Le mal a dit » = votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie.
(Sources : livres de Lise Bourbeau, Jacques Martel, Claudia Rainville et Philippe Dransart)
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Les douleurs des épaules et des bras sont très répandues, et ont bien souvent une origine émotionnelle.
Il y a de nombreuses possibilités, essayez de voir si quelque chose vous interpelle parmi ces causes émotionnelles possibles de ce que votre « mal a dit »….de ce que ce mal cherche à vous dire.
Les accidents qui occasionnent des douleurs aux épaules peuvent aussi avoir une origine émotionnelle.
Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime !
Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas…
On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.
Ou quand on a peur de l’avenir. Ou quand on manque de motivation, on se dévalorise suite à des efforts accomplis, et qui n’ont servi à rien.
Pour les femmes, ça peut souvent résulter d’une culpabilité de ne pas avoir pu retenir sous leurs ailes une personne qui leur était chère, leur mari, leur enfant…elles ont du remords, elles s’en veulent.
Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, on nous impose des choses.
Ou qu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire de passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.
On manque d’appui, on manque de moyens. On ne sent pas aidé.
Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.
Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.
Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.
On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).
Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).
L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de FAIRE, de réaliser ses désirs.
On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.
On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.
Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.
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Les problèmes de nuque peuvent traduire une inflexibilité chez certaines personnes, de la rigidité et de l’entêtement, des principes qu’elles ne veulent pas remettre en cause, un contrôle absolu des choses et des situations qui doivent se passer comme elles le désirent.
Quand il est difficile ou impossible de tourner la tête vers l’arrière, ça peut être la peur de voir ou d’entendre ce qui se passe derrière son dos, ou de quelque chose du passé….ça peut aussi vouloir dire « ne pas oser dire NON », car le mouvement de tête pour dire NON est impossible ou douloureux.
Au contraire, si c’est le mouvement de hocher la tête de haut en bas qui est douloureux, c’est la difficulté à dire OUI, à accepter ce qui est, ou avoir envie de dire OUI à quelqu’un ou quelque chose, mais ne pas se l’autoriser.
La raideur de la nuque peut aussi indiquer un manque de soutien, ou une situation d’injustice, la sensation de ne pas avoir toutes les qualités nécessaires à la réalisation d’un projet.
(Sources : »Ton corps dit « aime-toi » de Lise Bourbeau
Le dictionnaire des malaises et des maladies, Jacques Martel)
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Ou aussi, lorsque nous ne pouvons pas aller dans la direction qu’on souhaite, mais qu’on n’ose pas l’affirmer, et que nous sommes découragés ou retenus.
Si on se blesse aux chevilles pendant nos loisirs, il est possible qu’on se permet pas de prendre du bon temps pour soi, de se faire plaisir ou s’amuser.
La personne qui est sujette à une entorse peut se sentir obligée d’aller dans une direction contraire à ce qu’elle voudrait vraiment.
Elle se laisse diriger, va plus loin que ses limites et s’en veut de ne pas pouvoir dire NON aux autres.
Elle a peur de faire une entorse au règlement ou à ce qu’on attend d’elle.
Cette entorse lui donne l’excuse nécessaire pour prendre un temps d’arrêt
Ne pas oublier que nous pouvons nous encourager nous-mêmes et être notre meilleur soutien !
Ne pas soucier du jugement des autres et faire nos propres choix.
(Sources :Ton corps dit Aime-toi, Lise Bourbeau Dictionnaire des malaises et des maladies Jacques Martel
La maladie cherche à me guérir, Philippe Dansart Métamédecine, Claudia Rainville et expériences professionnelles.)
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– Lise Bourbeau et la sclérose en plaques:
La personne atteine de sclérose en plaques est du genre à vouloir se durcir pour ne pas souffrir dans certaines situations. Elle perd toute souplesse ce qui l’empêche de s’adapter à quelqu’un ou à une situation. Elle a l’impression que quelqu’un joue avec ses nerfs et une révolte intérieure s’installe contre cette personne. Ayant dépassé ses limites, elle s’abandonne complètement et ne sait plus de quel côté aller.
On dit aussi d’une personne sclérosée qu’elle est figée, n’évolue plus. Elle désire que quelqu’un la prenne en charge mais elle se force pour ne pas paraître dépendante car elle ne veut pas avouer sa dépendance. C’est le genre de personne qui voudrait que tout soit parfait et qui s’en demande beaucoup. Elle veut plaire à tout prix. Comme elle ne peut y arriver seule à satisfaire cet idéal non réaliste, en devenant handicapée, cette personne se donne une excuse pour ne pas avoir la vie parfaite qu’elle désire. Elle a aussi beaucoup de difficulté à accepter que les autres qui en font moins qu’elle, en aient plus qu’elle.
Plus la maladie est grave et plus ton corps t’envoie un message important et urgent. Il te dit de laisser sortir ta douceur naturelle et d’arrêter de te durcir, c’est-à-dire d’être dur envers toi-même et d’avoir des pensées dures envers les autres. Donne-toi le droit d’être dépendant au niveau affectif avant de le devenir complètement avec ta maladie.
Lâche prise, tu n’as plus besoin de t’en demander autant. Je te suggère de regarder l’idéal de personne que tu essaies d’atteindre et de réaliser que cet idéal est au-delà de tes limites. Tu n’as rien à prouver à qui que ce soit. Tu n’as plus à entretenir cette grande peur de déplaire qui t’empêche d’être toi-même. De plus, cette attitude t’empêche d’évoluer comme ton coeur le désire.
Quelque chose ou quelqu’un me paralyse, je me sens coincé.
Je ne suis plus fringant face à la vie.
La vie manque de douceur, de miel (sé-myel-inisation). Une profonde révolte anime tout mon être.
Je me sens obligé de devoir tout faire moi-même; étant très perfectionniste et intransigeant, je refuse de me tromper et j’accepte difficilement de l’aide.
J’accepte difficilement les contraintes, spécialement celles qui me proviennent de ma famille.
J’ai une volonté à toute épreuve.
Je prends conscience que je dois, pour ce faire, être très dur avec mes pensées et rester éloigné de mes émotions. La pensée de l’échec me terrorise.
J’ai de la difficulté à me pardonner et à pardonner aux autres. Je peux m’en vouloir d’avoir laissé filer une opportunité.
Je crains d’être laissé pour compte, d’être plaqué là. J’ai très peur qu’on me laisse tomber.
Je peux aussi avoir peur de tomber, autant au sens propre qu’au sens figuré, et craindre que cette chute entraîne la mort. Toutes ces peurs impliquent un déplacement vertical et qui peuvent m’amener à croire que ma vie est en danger peuvent déclencher la sclérose en plaques.
Ce peuvent être la chute d’une échelle, le risque de tomber dans un précipice, la perte abrupte d’altitude dans un avion, quelque chose qui me tombe sur la tête, etc…
D’une façon symbolique, « tomber en amour » ou « tomber enceinte » devient dangereux pour moi.
La chute peut dont être physique, morale ou symbolique. Je trouve toutes ces situationsbouleversantes, renversantes et je suis sidéré.
J’ai peur de tomber de très haut ou « que la mort me tombe dessus.
Je peux aussi me sentir dégradé par quelqu’un d’autre ou j’ai peur de perdre mes grades, une position privilégiée par exemple dans mon travail.
J’ai l’impression de ne plus avoir aucun avenir.
Très souvent, je me juge ou je peux juger les autres très sévèrement, ce qui entraîne un grand sentiment de dépréciation, de dévalorisation et de diminution de ma personne.
Lorsque je me sens diminué, rabaissé, j’ai l’impression que la vie m’écrase et j’ai tendance à ramper au lieu de me tenir droit,
Je peux même m’arrêter, m’immobiliser n’ayant plus la force d’avancer, de me mouvoir.
Ainsi, c’est d’abord par mes jambes que la maladie manifeste ses premiers signes et que je peux avoir l’impression d’être écrasé. Être de moins en moins capable de marcher, de me déplacer, de bouger, peut me donner l’impression que je suis plus en sécurité ainsi.
Le fait de ne plus pouvoir avancer peut m’empêcher de faire face à une situation que je veux éviter à tout prix…
… Quel que soit mon âge, on ne m’autorise pas à avoir des projet, à grandir, à donner mon avis.
Je prends sur mes épaules de réaliser les désirs de ma mère ou de mon père: je deviens « leurs bras et leurs jambes ».
Je me rends vite compte que je suis impuissant à jouer ce rôle. J’en viens à ne pas me trouver assez bon pour eux.
Ma défense à toutes ces peurs qui m’habitent sera de vouloir tout contrôler, de vouloir que tout se passe comme je le veux.
La critique, qui est souvent dirigée vers moi-même, emprisonne ma vie. Je crois que la souffrance fait partie de mon lot de tous les jours et que je ne mérite pas le repos.
Mes efforts pour me dépasser sont constants et, malgré tout, toujours insuffisants.
Mon corps fatigué refuse ainsi de poursuivre cette lutte du plus fort et veut me faire comprendre que je peux aussi avoir besoin des autres et que j’ai à apprendre à faire confiance.
Je résiste au bonheur, à ma valorisation .
Je me renie.
Le fait qu’on m’ait déjà dénigré et abaissé me fait croire que je ne vaux pas grand chose.
Je suis comme un arbre qui plie. Je me sens anéanti.
Je me détruis tellement avec ma pensée que c’est maintenant la maladie qui me détruit.
L’inflammation implique une rage brûlante et très émotionnelle, pouvant affecter toute mon existence. Je peux me questionner : « Est-ce que je souhaite vraiment être libre? »
Je peux inconsciemment, de cette façon, me venger de quelqu’un qui gravite dans mon univers et qui ne m’a pas manifesté suffisemment d’amour!
Cette forme de cage, dans laquelle mon corps se retrouve, me protège peut-être de devoir admettre mes vrais sentiments!
En me taisant ainsi, je me sens dans l’obligation d’emprunter certaines routes pour faire plaisir aux autres au lieu d’avancer dans la direction que je veux prendre.
Au lieu d’être dans le mouvement et le changement, je suis dans la stagnation, l’inertie.
Puisque je ne veux plus rien sentir, mes nerfs sensitifs sont atteints. La répression émotionnelle peut me conduire à une incapacité d’aller de l’avant dans mes émotions, entraînant ainsi une confusion musculaire et mentale.
Lorsque je suis atteint de sclérose en plaques, je deviens dépendant des autres. Je deviens comme un enfant qui a besoin de quelqu’un pour s’occuper de ses besoins de base. Je dois m’accrocher aux autres, m’agripper pour ne pas tomber, autant physiquement qu’émotionnellement.
Je dois me demander si mes responsabilités en tant qu’adulte sont trop lourdes à porter.
Je préfère peut-être retourner dans un état de dépendance au lieu de toujours avoir à faire les efforts pour acquérir ou garder ce que je possède.
J’étais tellement bien quand ma mère veillait sur moi… Je la trouvais admirable. Mais je ne verrai plus jamais la douceur de ces yeux… J’ai maintenant l’impression que ma vie est sans cesse agitée, en pleine effervescence.
Mon corps me dit de lâcher prise, de me libérer de mes chaînes. La clé se trouve à l’intérieur de moi.
J’accepte de faire confiance à mon guide intérieur et je reconnais en chacun la présence de ce guide, qui amène chaque personne à agir au mieux de sa connaissance. Je manifeste alors plus de flexibilité et de compréhension.
Source:Le grand dictionnaire des malaises et des maladies- Jacques Martel
LE MAL A DIT : PROBLÈMES ET CAUSES
Nouveau schéma de pensée : je ne laisse pas mes pensées s’envenimer, je suis en paix.
Nouveau schéma de pensée : paix et sécurité : j’aime et j’accepte la vie dans sa totalité.
Nouveau schéma de pensée : Je m’aime et je m’accepte tel que je suis, ici et maintenant et je suis heureuse.
Nouveau schéma de pensée : je me libère de mon passé- je mérite d’être aimé- je m’aime et m’accepte maintenant comme je suis.
Nouveau schéma de pensée : je suis en paix – je me sens en sécurité dans un univers d’amour.
Nouveau schéma de pensée : plus rien ne s’oppose à ma chance. Je consens à devenir un canal ouvert par lequel ma divinité s’exprime et se répand.
Nouveau schéma de pensée : mon univers déborde de joie. Tout m’intéresse.
Nouveau schéma de pensée : Joie! Joie! Je me détends et laisse la Vie couler en moi.
Nouveau schéma de pensée : je suis entièrement ouvert à la Vie et à la Joie. La Vie est belle.
Nouveau schéma de pensée : Amour, pardon. Je laisse les autres être eux-mêmes et MOI, JE SUIS LIBRE.
Nouveau schéma de pensée : Je suis libre, c’est moi qui prends ma vie en charge.
Nouveau schéma de pensée : J’accepte ma vie présente, passée et future. Ma vie est remplie de joies.
Nouveau schéma de pensée : j’ai le droit de parler pour moi-même, je suis en sécurité lorsque je m’exprime, je communique avec joie.
Nouveau schéma de pensée : je vois le passé avec joie, personne ne m’a jamais fait de mal exprès.
Nouveau schéma de pensée : J’accueille les idées et les concepts nouveaux.
Nouveau schéma de pensée : paix, personne ne peut m’irriter sans que je n’y consente.
Nouveau schéma de pensée : personne n’a de pouvoir sur moi, je représente la paix dans mon entourage.
Nouveau schéma de pensée : j’utilise des moyens sûrs et inoffensifs pour libérer ma colère. L’amour me détend et me libère.
Nouveau schéma de pensée : plus de secrets. Je me libère totalement de mon passé. Mon moment présent est rempli de joie.
Nouveau schéma de pensée : Joie! Joie! Joie! Amour et Paix! J’accepte avec joie la vie dans sa totalité.
Nouveau schéma de pensée : je suis libre, la vie est éternelle et remplie de joies.
Nouveau schéma de pensée : C’est normal d’être ouvert à la joie, j’aime la vie.
Nouveau schéma de pensée : je suis la source de ma joie et libre, la vie est éternelle.
Nouveau schéma de pensée : je laisse tomber le passé et je laisse la vie couler à travers moi.
Nouveau schéma de pensée : je suis souple et flexible et j’accueille d’autres vues que les miennes.
Nouveau schéma de pensée : je me détends et laisse la vie couler en moi.
Nouveau schéma de pensée : l’univers s’occupe de mes besoins, j’accepte tout ce qui est bon sans me sentir coupable
Nouveau schéma de pensée : je prends mes propres décisions et je les fonds sur les principes de la vérité. Je suis calme quant aux résultats de mes décisions.
Nouveau schéma de pensée : je ne dépends que de mon amour. Rien n’a de prise sur moi, à moins que je n’y consente.
Nouveau schéma de pensée : je mérite d’avoir du plaisir, le passé est le passé. J’accepte de fonder ma vie sur la joie.
Nouveau schéma de pensée : j’accepte que mes vies, passée, présente et future, se succèdent selon l’ordre établi par Dieu.
Nouveau schéma de pensée : je me détends sachant que la Vie, dans sa Sagesse, s’occupera de tous les détails.
Haut du dos : manque de soutien affectif – retenir l’amour – bas du dos : manque de soutien financier – peur de l’argent.
Nouveau schéma de pensée : j’ai confiance en la Vie. L’Univers me supporte. Je m’ouvre à l’Amour et à la confiance.
Nouveau schéma de pensée : je n’ai plus besoin de me punir. Je lâche prise et laisse la Vie me pénétrer.
Nouveau schéma de pensée : je me sens en sécurité. Personne ne me menace en tant qu’individu.
Nouveau schéma de pensée : Je m’accepte et je m’aime tel que je suis. Les nourritures spirituelles m’apaisent toujours. Je me permets de « sentir ».
Nouveau schéma de pensée : Je corresponds à la Vie. Je partage mon sentiment et mon amour. Sentir : je « sens ».
Nouveau schéma de pensée : je m’abandonne allègrement à la Vie. Tout ce que j’accepte est bon pour moi.
Nouveau schéma de pensée : Je m’aime et j’aime aussi toutes les manifestations de la Vie. La Vie, c’est la Joie célébrée de toute Éternité.
Nouveau schéma de pensée : j’assimile facilement toute idée nouvelle. Je suis en accord avec la Vie.
Nouveau schéma de pensée : J’ai le Pouvoir, la Force, et la Connaissance de prendre ma Vie en main.
Nouveau schéma de pensée : Je pardonne- je m’aime et je ne me ferai aucun mal.
Nouveau schéma de pensée : j’ai le goût de vivre et je suis rempli(e) d’Énergie.
Nouveau schéma de pensée : je suis l’expression paisible de la Paix et de l’Amour.
Nouveau schéma de pensée : je nie toute forme de croyances dans les calendriers. Je ne fais qu’un avec la Vie dans sa totalité.
Nouveau schéma de pensée : Je vis à même cet espace ouvert qui se trouve dans mon coeur. Je suis libre d’aimer. Calculs biliaires : Amertume – Pensées « dures » entretenues – nouveau schéma de pensée : Rémission joyeuse du Passé. La Vie est douce, et moi aussi.
Nouveau schéma de pensée : Quel que soit l’état de mon esprit, je n’en suis pas moins, dans une certaine mesure, l’instrument du Divins. Mon esprit se reconnaît comme étant une projection de Dieu lui-même.
Nouveau schéma de pensée : J’ai la joie de vivre. Je me libère de ma colère et de mon ressentiment.
Nouveau schéma de pensée : je me détends et laisse la Vie couler aisément dans tout mon Être.
Nouveau schéma de pensée : je pardonne, je tolère, je compatis. J’avance sans hésitation.
Nouveau schéma de pensée : Je suis une personne décidée. Je poursuis ce que j’entreprends.
Nouveau schéma de pensée : je suis parfaitement en équilibre. Mon système est en ordre.
Nouveau schéma de pensée : Personne ne peut jamais me blesser. Je vois avec des yeux d’amour et de tendresse.
Nouveau schéma de pensée : je m’exprime librement et allègrement. Personne ne peut me blesser. Je suis en paix.
Nouveau schéma de pensée : Je libère mon ego et tout sentiment de supériorité. Je laisse les autres « être ».
Nouveau schéma de pensée : Je m’exprime avec douceur et amour. Je n’exhale que le bon.
Nouveau schéma de pensée : J’avance gaiement – soutenu(e) et supporté (e) par mes forces vitales.
Nouveau schéma de pensée : Je me libère de tous mes fardeaux et de toute forme de pression. Je vis mon moment présent dans la Joie.
Nouveau schéma de pensée : Je me libère de tout ce qui m’est devenu inutile. Ma conscience est maintenant purifiée. Mes pensées sont fraiches, neuves et pleines de vie.
Nouveau schéma de pensée : Ma vie est imprégnée de douceur et d’harmonie. Je m’aime tendrement.
Nouveau schéma de pensée : Je suis courageux (se) et indépendant(e). La Vie me supporte.
Nouveau schéma de pensée : L’accueil que je fais à la Joie équilibre mon système.
Nouveau schéma de pensée : Pouvoir. Je laisse ma source d’énergie sexuelle jaillir allègrement et puissamment.
Nouveau schéma de pensée : Amour – compréhension – compassion.
Nouveau schéma de pensée : J’accueille le Neuf et l’assimile facilement.
Nouveau schéma de pensée : Rien ne peut m’irriter- Je suis paisible et harmonieux.
Nouveau schéma de pensée : Pas de culpabilité. Toi et tes parents aviez quelque chose à résoudre ensemble par le biais de cette infirmité.
Nouveau schéma de pensée : Je ne me laisse pas gouverner par les croyances populaires ou par les calendriers. Rien ne peut me congestionner ou m’influencer.
Nouveau schéma de pensée : Je laisse passer la journée et m’abandonne à un sommeil paisible. Demain prendra soin de lui.
Nouveau schéma de pensée : J’avance dans la Joie et la Confiance.
Nouveau schéma de pensée : J’éprouve de la tolérance, de la compassion et de l’Amour pour tout le monde.
Nouveau schéma de pensée : Je permets à mes vieilles colères de se dissoudre. Rien ne peut me blesser.
Nouveau schéma de pensée : Je peux parler en faveur de moi-même. Je m’exprime librement.
Nouveau schéma de pensée : Les idées coulent à travers moi dans l’Amour et l’aisance.
Nouveau schéma de pensée : Je me déplace avec aisance dans le temps et dans l’espace. Il n’y a pas de place pour la peur.
Nouveau schéma de pensée : La Vie est continuité. La mort n’existe pas. Seul le changement existe.
Nouveau schéma de pensée : Paix, Amour, Joie, Détente. Tout va bien dans mon monde à moi.
Nouveau schéma de pensée : Je suis bien équilibrée dans tous mes changements de cycles et je bénis mon corps avec Amour.
Nouveau schéma de pensée : J’accepte ma beauté. Ma féminité évolue et se transforme normalement. Tout va bien dans mon corps.
Nouveau schéma de pensée : Nul besoin de me battre. J’agis par Amour.
Nouveau schéma de pensée : Je me détends dans le courant de la Vie et la laisse circuler librement en moi.
Nouveau schéma de pensée : Je poursuis une route sans fin dans l’éternité. Paix. Calme. À quoi bon me dépêcher!
Nouveau schéma de pensée : Je me libère de plein gré de tout mon passé. Je me sens libre et en sécurité.
Nouveau schéma de pensée : Je suis autonome. J’accepte ma maturité en toute sécurité.
Nouveau schéma de pensée : J’écoute avec Amour et entend avec Joie tout ce qui est bon et agréable.
Nouveau schéma de pensée : Je suis en paix avec l’autorité. Je suis l’autorité de mon Univers intérieur.
Nouveau schéma de pensée : Je fais « Un » avec la Vie et j’accueille mes expériences avec Joie.
Nouveau schéma de pensée : Je m’accepte en tant qu’individu. Je suis en sécurité sur le plan de mes émotions. J’attire l’attention, mais d’une façon positive.
Nouveau schéma de pensée : Je me maintiens dans la Vérité. J’avance dans la Joie. Ma compréhension est spirituelle.
Nouveau schéma de pensée : J’accueille librement les idées divines. Elles sont remplies du souffle de Vie.
Nouveau schéma de pensée : Mon souffle de Vie circule librement dans tout mon être.
Nouveau schéma de pensée : Haute : Je me libère avec joie du passé. Basse : Je vis mon moment présent dans la Joie. La Vie est remplie de Joie.
Nouveau schéma de pensée : J’accepte ma virilité. Je suis éternellement puissant. Sexe égale plaisir.
Nouveau schéma de pensée : Je suis en paix et en sécurité. Je suis à l’aise dans la Vie.
Nouveau schéma de pensée : Je me sens en sécurité, alimenté que je suis par tout l’amour de l’Univers.
Nouveau schéma de pensée : Je ne vois que du « bon » partout. C’est toujours les « bonnes » choses qui arrivent. Je suis comblé(e).
Nouveau schéma de pensée : Joie ! Je lâche prise de bon coeur.
Nouveau schéma de pensée : J’éprouve de la compassion pour moi-même et pour les autres. J’accueille la joie.
Nouveau schéma de pensée : Je suis un libre penseur. Je suis en paix dans mon propre esprit.
Nouveau schéma de pensée : Joie! Je laisse circuler librement les nouvelles idées.
Nouveau schéma de pensée : Mon bien-être se trouve partout et je me sens en sécurité.
Nouveau schéma de pensée : Je n’essaie plus de contrôler. Je me laisse couler à même la Joie de la Vie.
Nouveau schéma de pensée : Je suis Libre et je laisse tout le monde l’être aussi.
Nouveau schéma de pensée : Personne n’a le pouvoir de m’irriter à moins que je n’y consente. Paix, harmonie.
Nouveau schéma de pensée : J’écoute mon Dieu. J’entends les Joies de la Vie. Je suis une partie de la Vie.
Nouveau schéma de pensée : Je m’exprime d’une façon paisible. Je parle avec Amour.
Nouveau schéma de pensée : Je ne suis pas étouffé par la Vie. Ma pensée se fonde sur des idées valables. Chaque moment de ma Vie est rempli de sens.
Nouveau schéma de pensée : Relâche – pardonne. L’Amour fait fondre toutes les blessures.
Nouveau schéma de pensée : La Vie est toujours en mouvement. Nos schèmes croissance sont toujours nouveaux.
Nouveau schéma de pensée : Rien ne peut m’irriter. Je suis paisible, calme et à l’aise.
Nouveau schéma de pensée : Je suis en Paix avec les petites choses de la Vie.
Nouveau schéma de pensée : La forme et les débouchés peuvent changer, mais l’Amour ne se perd pas. Toutes les parties de mon corps sont belles et aimables.
Nouveau schéma de pensée : Je vis et j’évolue dans la Joie. J’aime la Vie. Je circule en toute liberté.
Nouveau schéma de pensée : On désire cet enfant. Il est le « bien venu ».
Nouveau schéma de pensée : J’aime et j’accepte de bon coeur ma sexualité dans toute son expression. Plus de culpabilité ni de punition.
Nouveau schéma de pensée : Je n’annonce pas de pensées laides. Il n’y a pas de culpabilité. J’aime mon corps dans sa totalité.
Nouveau schéma de pensée : Je me défais du « vieux » pour accueillir le « neuf ».
Nouveau schéma de pensée : Je m’aime et je m’accepte à tout âge. Chaque âge est parfait.
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