Libération des mémoires cellulaires transgénérationnelles, des mémoires karmiques et des mémoires de la blessure des Sorcières (mémoire du Bûcher) afin de nous dépouiller et de nous alléger comme une syntonisation avec le passage de l’automne !
Pour tout comprendre, il nous faut partir du postulat que notre âme choisit de s’incarner dans un corps matière afin d’expérimenter la 3D et ses enseignements pour sa propre évolution puis d’ascensionner.
L’âme choisit également sa famille d’incarnation et, en naissant, télécharge tous les programmes et les mémoires de la famille entière (mémoires transgénérationnelles) dans les cellules : contrats, fidélités, programmations, croyances, limitations, mais également tout le potentiel positif que nous avons trop souvent tendance à renier également.
L’âme est connectée au plan lumineux et subtil et notre corps physique à la densité de la matière ce qui rend l’expérience humaine si douloureuse : souffrances, blessures, peurs, séparation, illusion, enfermement dans le mental et l’ego et leurs croyances, leurs programmations non résolus, non dépassés, non transformés des vies passées.
Les mémoires karmiques sont des dettes du passé, des informations de nos précédentes vies imprimées dans nos cellules, dont le but est de nous inciter à évoluer, à nous décharger du poids, de lâcher des charges émotionnelles et mentales, de vider le bagage karmique afin de voyager léger.
Nous vivons sur plusieurs dimensions simultanément, ce qui nous donne accès à nos vies antérieures. En effet, aux mémoires karmiques inscrites, pour s’en libérer et les transmuter en un potentiel d’évolution et de transformation.
Nous prenons conscience de ces mémoires cellulaires, tant du transgénérationnel que du karmique, lorsque nous pouvons commencer à faire le lien entre le corps et notre âme en écoutant les messages transmis au travers de notre corps physique.
Cette libération permet de traverser et de nous libérer de la souffrance, des blocages, des freins que nous rencontrons dans notre vie d’aujourd’hui.
Tant que le nettoyage n’a pas été effectué sur le corps physique au niveau des mémoires cellulaires transgénérationnelles et karmiques, nous répétons sans cesse les mêmes schémas familiaux, les mêmes blessures, les mêmes types « personnes », les mêmes chocs et traumas, les mêmes expériences karmiques, quelques fois avec plus d’intensité, car l’âme souhaite s’en libérer.
C’est pourquoi il est essentiel de se laisser accompagner pour mettre en conscience, pour laisser apparaître les schémas réplétifs, limitatifs, enfermants, avec un regard et un recul nécessaire d’une mise en lumière.
Un travail de guérison a pu être effectué sur le plan émotionnel et mental, mais, cependant, il reste à libérer la mémoire du corps (plan physique) afin de libérer l’âme (plan spirituel).
La libération ne peut alors que passer à nouveau par le corps physique, car c’est dans la mémoire cellulaire que l’information et que l’énergie mémorielle sont contenues, sont enfermées.
La libération a lieu sous forme de ressentis, de sensations car seulement le corps décide et choisit de lâcher ces mémoires. Aucune interprétation ! Une fois encore, le corps sait et libère les mémoires cellulaires.
Ensuite, la légèreté, la fluidité, la simplicité, la libération s’invitent alors dans nos vies, signes de déblocages, de transmutations des nœuds.
Une période d’intégration se fait alors ressentir et demande plus de temps. Le fait d’évacuer, de vider ces mémoires libère de l’espace et crée un champ « vide » empli de potentiel, de ressources, de créations.
Se libérer de schémas de famille, de charges karmiques, c’est une invitation au NOUVEAU, tel un nouveau dépouillement, une libération, un allègement pour une libération.
Comme nous traversons une période intense de basculements, de bousculements, de transformations et d’élévations intenses, j’ouvre des créneaux spéciaux pour ces trois puissantes consultations.
Il est temps de s’alléger, de se dépouiller pour des changements profonds en lien avec l’évolution de notre âme.
Auteure: Laurence Simonnet
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Les SYNDROMES du TRANSGÉNÉRATIONNELS Accroche ta ceinture vibratoire, ton mug de tisane karmique et ton arbre généalogique (si possible sans les fantômes coincés dedans) — on part en expédition dans le grand parc d’attractions du transgénérationnel spirituel, alias :
> “Tout ce que ta famille n’a pas réglé et que tu payes sans t’en rendre compte.”
Spoiler : si t’as déjà dit “je comprends pas, j’attire toujours les mêmes situations”… c’est que
t’es probablement l’ingénieur du chantier karmique familial.
t’es probablement l’ingénieur du chantier karmique familial.
C’est quoi un “syndrome transgénérationnel” ?C’est quand tu vis un truc chelou…
et que ton âme chuchote :
> “Ce n’est pas à toi, c’est un héritage… sans testament, mais avec option illimitée de galère.”
Autrement dit : tu te tapes des schémas venus du grenier énergétique de la famille.
Mais rassure-toi : t’es pas puni, t’es juste le réparateur céleste du clan.
Tu as choisi ton arbre, oui, mais tu peux changer la sève. 
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Les grands syndromes transgénérationnels~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Le syndrome de répétition Le fameux Ctrl+C / Ctrl+V familial.
Tu refais exactement la même boulette qu’un ancêtre, comme si la vie te disait :
> “Allez, toi, fais mieux cette fois, on regarde !” 
Exemples :
Tu épouses un sosie du grand-père.
Tu fais faillite pile à son âge.
Tu perds ton job le jour de son décès (coïncidence ? Pas vraiment 
).
).Traduction renardesque : ton âme a dit “on rejoue la scène, mais cette fois, avec conscience.”
Mantra libérateur :> “Je rends à papy ses galères, mais je garde l’amour (et éventuellement la maison)
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Le syndrome de loyauté familialeLe piège du “je souffre comme vous, pour vous prouver que je vous aime”.
Tu refuses de réussir, d’être heureux ou libre, parce que… “eux, ils n’ont pas pu.”
Résultat : tu fais du surplace pendant que ton âme crie :
> “Mais avance, enfin ! On a signé pour l’évolution, pas pour le replay !”
Version zen :
> “Je choisis de vous honorer par ma joie, pas par mes dettes émotionnelles.”
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Le syndrome du fantôme ou de l’enfant de remplacementAïe.
Quand t’es né après un bébé perdu, tu deviens parfois “l’enfant-bouchon” qui remplace la douleur.
Sauf que toi, tu veux juste exister, pas réparer les larmes d’un autre.
Résultat :
Tu te sens flou, transparent, ou tu veux sauver la Terre entière (mais t’oublies ton propre petit corps épuisé).
Mantra libérateur :
> “Je rends sa place à celui qui est parti, et je prends la mienne (avec option paillettes et respiration consciente).”
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Le syndrome du secret de familleAhhh, les secrets ! Ces petits dossiers scotchés sous la nappe du dimanche.
Tu ne sais rien… mais ton inconscient, lui, transpire la honte, la peur ou la culpabilité depuis 3 générations.
Symptômes :
Tu caches des trucs sans savoir pourquoi.
Tu paniques quand quelqu’un parle “trop vrai”.
Tu sens une tension bizarre dans les repas de famille (même avant l’entrée).
Version renardesque :> “Je choisis la vérité, même si elle décoiffe un peu l’arbre.”
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Le syndrome de réparationLe mode “mécano céleste activé”.
Tu veux réparer tout le monde : tes parents, ton ex, ton hamster…
Mais à force, t’es épuisé, et ton aura clignote “batterie faible”.
Traduction renardesque :
> “Je ne suis pas là pour réparer, mais pour créer du neuf (et me faire un café pendant que les ancêtres se reposent).”
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Le syndrome de l’identificationTu portes le même prénom que tata Monique, tu vis les mêmes galères qu’elle…
Félicitations, tu es son clone énergétique.
C’est comme si ton âme avait dit : “T’inquiète tata, je finis le boulot à ta place.”
Mais spoiler : ce n’était pas ton stage karmique.
Libération express :
> “Merci tata pour ton courage, mais je reprends mon CV d’âme et je trace ma route.”
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Le syndrome de l’exclusionQuand un membre du clan a été banni, oublié, ou jugé “trop bizarre” (spoiler : souvent celui qui te ressemble ).
L’arbre envoie alors un descendant “miroir” pour redonner sa place à l’exclu.
Résultat : tu te sens à part, incompris, un peu rebelle.
Mais en vrai, t’es juste le réparateur du Wi-Fi familial de l’amour.
Mantra libérateur :
> “Je rends sa place à chacun — même à l’arrière-grand-oncle sorcier.”
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Le syndrome de la dette karmiqueQuand ton ancêtre a spolié, trahi, ou fait un sale coup, tu peux hériter du badge : “rembourseur officiel du clan.”
Tu bosses dur, tu perds ton argent, tu culpabilises sans raison…
Mais t’inquiète, l’univers ne t’envoie pas des huissiers énergétiques — juste des leçons de détachement.
Mantra :
> “Je transforme la dette en sagesse, pas en découvert”.
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Le syndrome du jumeau perduTu sens un vide ? Comme s’il manquait quelqu’un dans ton existence ?
Peut-être parce que… c’est vrai. Ton âme-sœur originelle était ton jumeau in utero.
Conséquences :
Tendance à vouloir fusionner avec l’autre.
Peur panique de l’abandon.
Difficulté à être “seul” (même avec toi-même).
Libération douce :
> “Je te garde dans mon cœur, mais je vis pleinement ici, maintenant.”
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Le syndrome du gardien de la lignéeToi, t’es l’alchimiste du clan.
Celui qui attire les crises, les émotions, les “on comprend pas, tout allait bien et paf !”.
Mais attention : t’es pas maudit.
T’es juste le nettoyeur énergétique de service.
Ton job : transformer la douleur en lumière, et le karma en comédie spirituelle.
Mantra :
> “Je transmets la lumière, pas les blessures — et je prends des pauses quand même.”
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En résuméLes 3 étapes pour arrêter d’être le hamster du karma familial :
№1 Prendre conscience – Voir le schéma sans se juger.
№ 2 Faire un rituel symbolique – Rendre, honorer, remercier. (Bougie, photo, tisane… ton style.)
№3 Créer du neuf – Changer tes actes, même petits.
Parce que le meilleur hommage à tes ancêtres, c’est pas de reproduire leur galère…
C’est de danser librement sur les ruines du passé — en pyjama astral, si tu veux.
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