Magnifique Cloud Atlas !!!
Et puis finalement si tous ce qu’on croit de nos yeux, n’était qu’un subterfuge ?
si la mort était une renaissance, et si la vie était une petite mort ?
si l’éternité existait, et si l’espace temps était bien plus grand que ce qu ‘on imagine de notre horloge et de nos frontières ?
espace temps, interconnexion de tous et de chacun, l’éternité et la loi d’attraction, tous ce que j’aime.😍
Ce que nous faisons a chaque minute , ce que nous pensons a chaque minute, notre vibration de chaque instant, tout est enregistré pour l’éternité.
Chaque expérience est un apprentissage, chaque incarnation est une continuité de la précédente et prépare la suivante.
chaque être vivant croisant notre route, nous apprend un peu plus de nous même, nous montre la voie pour la transformation, nous permet de grandir et de préparer la suite de notre éternité.
Alors la peur de se tromper, la peur du jugement, la peur de la mort ou la peur de vivre, la peur de souffrir, la peur de réussir, la peur du malheur, et la peur du bonheur. Ça n’a pas de sens, on avance et c’est tous, avec la meilleure intention, avec ce que nous avons de conscience a chaque instant, et cette conscience grandit s’expanse a chaque pas supplémentaire, et pour cela nous avons l’éternité.
Everything is connected , Cloud Atlas.
À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre, naissant et renaissant successivement… Tandis que leurs décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs siècles et à provoquer une révolution. Tout, absolument tout, est lié.
Citation :
« Des croyances comme la peur ou l’amour sont des forces à comprendre comme nous comprenons la théorie de la relativité et les principes de l’incertitude. Un phénomène qui détermine le cours de nos vies. Hier, ma vie avait pris une direction. Aujourd’hui, elle en prend une autre. Hier, je n’aurais jamais cru pouvoir faire ce que je fais aujourd’hui. Ces forces qui souvent refondent le temps et l’espace, et qui altèrent ceux que nous imaginons être, commencent bien avant notre la naissance et continuent après notre mort. Nos vies et nos décisions sont écoutées à chaque instant, à chaque point d’intersection et à chaque rencontre, elles suggèrent potentiellement une nouvelle direction. »
« Se connaître soi-même n’est possible qu’à travers les yeux des autres. La nature de nos vies immortelles s’enracine dans les conséquences de nos paroles et de nos faits… qui se poursuivent et qui sont punis à travers le temps. »
« A ce moment de ma vie, tout ce que je sais, c’est que ce monde est bouleversé par les mêmes forces invisibles qui troublent nos coeurs. »
« Les morts ne restent jamais morts. Ecoute attentivement, et ils ne cesseront jamais de parler. »
« Nos vies ne nous appartiennent pas. De la matrice jusqu’à la tombe, nous sommes liés aux autres. Dans le passé et le présent. Et chaque crime, chaque acte de bonté, construit notre futur. »
« – Dans tes Révélations tu as mentionné que les conséquences de la vie d’un individu se répètent dans l’éternité. Cela veut-il dire que tu crois en une vie après la mort ? Et non au Paradis ou à l’Enfer ?
– Je crois qu’ici, n’est qu’une porte. Lorsqu’elle se ferme, une autre s’ouvre. Si je devais imaginer le Paradis, je le verrai comme une porte. »
« Si j’étais restée invisible, la vérité aurait été occultée. »
« Je comprends maintenant, que ces limites, entre le son et le bruit sont des conventions. Toutes les limites sont des conventions, qui attendent d’être transcendées. Chacun peut dépasser n’importe quelle convention, si d’abord, on peut concevoir soi-même de le faire. Dans de tes instants, je peux sentir ton coeur battre aussi clairement que s’il s’agissait du mien. Et je sais que cette séparation est une illusion. Ma vie s’étend bien au-delà de mes propres limites. »
« J’essaye de comprendre quelque chose. Pourquoi commettons-nous toujours les mêmes erreurs, encore et encore ? »
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